On fait des enfants parce que cela rend la vie de tous
les jours «plus belle, plus joyeuse», que cela fait «perdurer la famille» et
qu'un enfant donne de l'amour et «permet d'être moins seul quand on ...
Parmi les
personnes interrogées, 91 % ont des enfants, souhaitent ou auraient
souhaité en avoir, et 9 % n'en ont pas et ne souhaitent pas en
avoir. ASSOCIATED PRESS
On fait des enfants
parce que cela rend la vie de tous les jours «plus belle, plus joyeuse», que
cela fait «perdurer la famille» et qu'un enfant donne de l'amour et «permet
d'être moins seul quand on vieillit», selon un sondage.
Philosophie magazine publie dans son
numéro de mars un sondage réalisé par la Sofres (1 000 personnes interrogées en
face à face du 2 au 5 janvier, choisies par la méthode des quotas), sur le
thème : «Pourquoi fait-on des enfants ?». 91 % des personnes
interrogées ont des enfants, souhaitent ou auraient souhaité en avoir, et 9 %
n'en ont pas et ne souhaitent pas en avoir.
Parmi ceux qui en ont
ou souhaiteraient en avoir, une majorité (60 %) justifient ce choix par le fait
qu'«un enfant rend la vie de tous les jours plus belle, plus joyeuse».
47 % pensent que cela
permet «de faire perdurer sa famille», 33 % qu'«un enfant donne de l'amour et
permet d'être moins seul quand on vieillit».
À un moindre degré,
faire des enfants «c'est faire cadeau de la vie à quelqu'un» (26 %), cela «rend
plus solide la relation de couple» (22 %) et aide à «devenir adulte» (22 %). 6
% reconnaissent avoir eu un enfant sans raison particulière, ou par accident.
Les réponses, remarque
Philosophie magazine, varient peu en fonction du sexe, de la situation
professionnelle, du niveau de diplôme, du statut marital ou des pratiques
religieuses. Avec cependant des nuances : par exemple les couples non
mariés donnent «une prime au plaisir», avec une plus forte majorité (68 %)
estimant qu'un enfant rend la vie plus gaie. Les couples mariés se situent plus
fréquemment dans la sphère du devoir, avec davantage de réponses (55 %) en
faveur de l'argument «faire perdurer la famille».
source: le figaro
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